Les fondateurs

Elpidio

Directeur artistique

est avant tout un artiste passionné au parcours tumultueux, marqué par la force d’une résilience admirable, forgée par l’amour de la création.

Alors qu’il vit encore au Togo, le jeune Elpidio est élevé jusqu’à ses sept ans par sa grand-mère, grossiste en pagnes wax sur le marché d’Adawalto, à Lomé. Ces étoffes chamarrées aux motifs ornementaux variés, qui suscitent et nourrissent l’attrait de l’enfant pour la beauté des formes et la joie des couleurs, ainsi que son amour des vêtements. Tout petit, sa tante se souvient qu’avec l’argent qu’il recevait, il préférait s’acheter un caleçon plutôt que des billes ou des petites voitures…

Grand-mère Ayélé, structure ainsi la vie du jeune Elpidio. Une femme d’affaire, une Nana Benz comme on les appelle à Lomé, qui transmet à son petit-fils l’amour de la mode, de la beauté, tout simplement. Bien des années après, c’est en l’honneur de sa grand-mère qu’il choisira le nom, Maison Ayélé.

Grand-mère Ayélé

La naissance de

Maison Ayélé

À son arrivée en France, dans la banlieue sud- est de Paris, Elpidio se passionne pour la culture, la musique, la lecture, l’art en somme. Après une passionnante expérience de producteur-manager dans l’industrie du disque, au fil des événements culturels qu’il organise dans différents lieux parisiens, et après la parution  à compte d’auteur de son premier roman, Elpidio poursuit son rêve et murit ainsi l’idée qui préfigure l’ADN de la  Maison Ayélé.

Cependant, l’histoire de la Maison Ayélé est également celle d’un parcours et d’une volonté de construire et de créer. Une volonté farouchement construite au fil des aléas de la vie. Car il lui faudra encore triompher de rudes écueils pour voir émerger son rêve. Au moment où s’ébauche sa première galerie et concept-store nommée Brain & Love, Elpidio perd son père. Cette douleur immense l’éloigne   pendant quatre ans, de la concrétisation de ses projets et de ses passions. Quatre années au cours desquels il combat tristesse et      dépression, qu’il finit par surmonter grâce à l’amour des siens et une profonde introspection. Au sortir de cette rude épreuve, Elpidio reprend goût à la vie, et façonne autour de son amour des arts multiformes le projet AYÉLÉ afin de s’exprimer et d’exprimer la joie retrouvée de celui qui se définit à présent comme un « voleur d’instants » en pleine renaissance.

Imani

La relève assurée

Imani, la fille d’Elpidio, est la co- fondatrice de la marque. Son deuxième prénom est Ayélé : hommage, clin d’œil de la destinée, tout sauf un hasard. Ex sportive de haut niveau, ayant fait ses armes dans le Taekwondo, Imani est tout aussi amoureuse de la mode que son père. Comme lui, elle est addict des sneakers… Entre autres multiples points communs. Mais Imani apporte aussi un autre regard. Au sein de cette maison familiale, elle gère la communication, les relations publiques, mais aussi et surtout son papa… Imani est également une source d’inspiration pour Elpidio. C’est notamment au travers de ses tenues de combat, qu’en plus de l’inspiration due aux couturiers tels Yamamoto ou autres japonais, Elpdio s’oriente vers la création de tenues amples.

Imani
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